2 avis
Our Glowing Nights / Margot D. Bortoli
Livre
Edité par Editions Addictives. Paris - 2025
Leah a tout quitté pour refaire sa vie à Boston et devenir institutrice. Mais dès son arrivée, elle se retrouve face à un voisin un peu trop envahissant qui incarne tout ce qu'elle déteste : Jamie, un homme impulsif et provocateur. A peine ont-ils échangé un regard que l'hostilité s'installe, chaque rencontre devenant une bataille silencieuse où l'un et l'autre semblent résolus à se rendre l'existence insupportable. Mais un incident vient bouleverser leur vie et les rapprocher. Leah se retrouve plongée au coeur des secrets de la famille de Jamie. Elle n'est pas prête pour cette proximité dérangeante, encore moins pour le frisson interdit que lui inspire cet Italien insaisissable. Et alors qu'une tension palpable s'installe entre eux, un coup de feu éclate, ébranlant leur histoire d'amour à peine commencée.
Avis des bibliothécaires : Alors oui, c’est une romance. Une new romance, même, avec un avertissement en début de livre sur la violence domestique. On sait à quoi s’attendre : un jeune homme, une jeune femme, des voisins qui se détestent, puis s’aiment passionnément. La haine, l’amour… on connaît la chanson. Mais ce n’est pas pour ça que j’ai lu ce livre. Ce n’est pas pour ça que je l’ai terminé non plus. Une histoire d’amour en vaut une autre. On lit ce genre de roman comme on regarde une comédie romantique : pour se réchauffer le cœur, pour se laisser porter. Ce n’est pas toujours une question de “beaux sentiments”, d’ailleurs, ici, les personnages ne sont pas tout blancs ou tout noirs. Les “méchants” sont un peu gentils, les “gentils” bien borderline. Ce qui m’a accrochée, c’est l’ambiance. Boston, les quartiers italiens et irlandais, les familles soudées, les gars qui roulent des mécaniques dehors mais qui sont de bons fils à mama. Oui, c’est cliché. Mais c’est assumé. Et parfois, les clichés font du bien. Une jeune institutrice débarque avec ses blessures, elle se frotte à un monde rugueux, et ça fonctionne. J’ai lu ce livre au fond de mon lit, grippée, et il m’a tenu compagnie. Il m’a offert un moment suspendu. Mais en refermant le livre, des questions me restent: est-ce que répondre à la violence par la violence est une solution ? Pour ma part, je ne le crois pas. Est-ce que distribuer des coups à tout bout de champ est une bonne chose ? Pas sûre non plus. Et est-ce une bonne idée de posséder une arme à feu pour se défendre seul ?Vraiment pas certaine. Pourtant, c’est ce qu’il y a dans ce livre : des coups de poing, des coups de pied, des coups de feu. Beaucoup. Trop !!! Mais bon… j’ai appris plein de gros mots en italien que j’ai partagé avec plaisir ?
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Avis des lecteurs
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Boston, bastons et beaux gosses
Alors oui, c’est une romance. Une new romance, même, avec un avertissement en début de livre sur la violence domestique. On sait à quoi s’attendre : un jeune homme, une jeune femme, des voisins qui se détestent, puis s’aiment passionnément. La haine, l’amour… on connaît la chanson. Mais ce n’est pas pour ça que j’ai lu ce livre. Ce n’est pas pour ça que je l’ai terminé non plus. Une histoire d’amour en vaut une autre. On lit ce genre de roman comme on regarde une comédie romantique : pour se réchauffer le cœur, pour se laisser porter. Ce n’est pas toujours une question de “beaux sentiments”, d’ailleurs, ici, les personnages ne sont pas tout blancs ou tout noirs. Les “méchants” sont un peu gentils, les “gentils” bien borderline. Ce qui m’a accrochée, c’est l’ambiance. Boston, les quartiers italiens et irlandais, les familles soudées, les gars qui roulent des mécaniques dehors mais qui sont de bons fils à mama. Oui, c’est cliché. Mais c’est assumé. Et parfois, les clichés font du bien. Une jeune institutrice débarque avec ses blessures, elle se frotte à un monde rugueux, et ça fonctionne. J’ai lu ce livre au fond de mon lit, grippée, et il m’a tenu compagnie. Il m’a offert un moment suspendu. Mais en refermant le livre, des questions me restent: est-ce que répondre à la violence par la violence est une solution ? Pour ma part, je ne le crois pas. Est-ce que distribuer des coups à tout bout de champ est une bonne chose ? Pas sûre non plus. Et est-ce une bonne idée de posséder une arme à feu pour se défendre seul ?Vraiment pas certaine. Pourtant, c’est ce qu’il y a dans ce livre : des coups de poing, des coups de pied, des coups de feu. Beaucoup. Trop !!! Mais bon… j’ai appris plein de gros mots en italien que j’ai partagé avec plaisir ?
SABRINAL - Le 27 septembre 2025 à 10:58 -
Pas mal
J’ai aimé le début et la fin mais il y a quelques longueurs
FANNYM - Le 15 août 2025 à 09:09